La Vie des clubs : LA VESGRE A.S
Publié le 18/04/2018
Rencontre avec Thierry MORISSET, président du club.
Soir d’entrainement au stade des Brières à CONDE SUR VESGRE pour les jeunes joueurs (et joueuse) du club local.
Thierry MORISSET, pouvez-vous nous parler de la particularité de l’AS LA VESGRE pour ses ententes avec d’autres communes?
Je suis arrivé dans la région en 1998, devenu président en 2002, et j’ai bien compris que ce serait difficile de pouvoir exister seuls, ce qui rend obligatoire l’association avec BOUTIGNY pour les U11 et U13, et POIGNY LA FORET pour les vétérans.
A l’intérieur de la Communauté de Communes du Pays Houdanais, qui comprend 36 communes, nous avons aussi quelques ententes.
Cela représente combien de licenciés au total?
Nous avons 44 jeunes, 10 vétérans, et 7 dirigeants pour des entraînements qui se déroulent sur notre terrain.
Compte tenu de ce contexte, avez-vous quelques difficultés particulières?
Pas spécialement, les choses se passent plutôt bien, avec beaucoup de bonne volonté de part et d’autre; bien sûr pouvoir disposer pour l’ensemble d’un terrain synthétique; nos installations sont bien entretenues, mais ce serait un plus.
Avez-vous des problèmes de recrutement, de renouvellement des effectifs?
Les clubs respectent en général leur territoire naturel, mais leur scolarité fait que nous perdons certains éléments, pour le collège à HOUDAN par exemple.
Des personnalités passées ou encore au club aujourd’hui?
Nous avons eu Thomas BLAUDY dans une de nos équipes, il est ensuite parti pour MONTFORT, VERSAILLES, le centre de formation de REIMS, et doit maintenant jouer en BELGIQUE, à BINCHE, célèbre pour son carnaval; et puis même s’il n’est plus joueur, Rémy VERGER a fait le pôle espoirs d’arbitrage, et officie au niveau ligue.
Vos relations avec le district sont bonnes?
Tout à fait, ainsi d’ailleurs qu’avec les communes avec lesquelles nous avons des ententes.
Un souhait pour finir?
Attirer et conserver un peu plus de bénévoles, et notamment des formateurs, je suis le seul diplômé, par ailleurs président de l’amicale; les parents participent bien à l’organisation des déplacements des enfants, mais cela ne va pas au-delà.