Publié le 26/03/2019

Jean-François RICORDEAU, Président

Parlez-nous de votre club ses origines , ses licenciés :

L’association a été créée en 1970 par des personnes de SAINT-GERMAIN-EN-LAYE, dont un conseiller municipal. Dès l’origine, nous nous sommes inscrits dans un championnat C.D.M. en jouant au Camp des Loges. Nous sommes 4 Dirigeants depuis pratiquement le début ; il s’agit d’anciens joueurs qui s’impliquent, nous comptons 22 licenciés. L’Ouest Parisien est un club familial dont les adhérents veulent rester et les enfants de Dirigeants font également partie de l’association.

Quelles sont vos difficultés , vos attentes, vos ambitions ?

Nos difficultés se résument en un seul mot : les finances. Nous fonctionnons avec uniquement les cotisations, ce qui a pour conséquence que nous avons du mal à boucler la saison. De plus, nous avons à payer une location de terrain au Camp des Loges, ce qui n’était pas le cas à l’origine. Nous n’avons pas la possibilité d’aller plus haut malgré les résultats sportifs.

Des faits marquants ?

Dans les années 1980, nous avons disputé la Finale de la Coupe de Paris avec une équipe Critérium du samedi après-midi que nous avions créée. Avec l’équipe C.D.M., tout en étant en District, nous avons atteint la 1/2 Finale de la Coupe de Paris. Ce qu’il faut mettre en avant, c’est le groupe familial avec ses valeurs.

Avez-vous des messages à passer ?

Nous sommes un club tranquille, qui ne fait pas de vagues : les valeurs de respect et de sportivité sont bien réelles. Mais comme je l’ai déjà dit, nos difficultés en termes de finances sont importantes. Un sponsor, même modeste, serait le bienvenu et nous remercions le District des Yvelines de nous aider en faisant passer le message.

Comment ressentez-vous le District ?

Nous n’avons pas de problème avec les instances. J’aimerais intégrer le District, mis je viens de déménager à Paris. Les amendes, c’est vraiment dur à assumer pour nous car les finances sont un point essentiel pour continuer à vivre. Nous rêvons d’une dotation du District, la moindre aide étant la bienvenue.